Mardi 16 août 2011 à 19:53

 The two words I didn't want to say.
The two words you didn't want to hear.
- Go home -

I want a lot of unreasonable things because of you. Leaving is one of them, but staying is another  one.

Jeudi 30 décembre 2010 à 19:41

 2010 devait être différent. Je sais pas vraiment pourquoi, l'idée débile qu'un compte rond devait tout changer, que je pouvais pas finir la décennie comme je l'avais commencée. 

2010 a vu le début d'un amour, la fin de ma deuxième licence, les jobs débiles et humiliants que j'ai fait pour pouvoir mettre du beurre dans mes pâtes, les soirs où je mangeais pas parce que je pouvais pas me le permettre, les pleurs suite à toutes ces réponses négatives, les coups dans le dos, les câlins, l'emménagement avec l'homme de mes rêves, mon premier bébé chat, mes premiers congés payés, mes premiers mots notés dans un carnet de liaison.

2010 a eu de grands hauts ("viens habiter avec moi") et de grands bas ("je peux même pas acheter de beurre...").

2010 sera surtout l'année de notre histoire d'amour, de nos premiers je t'aime, de nos premiers fous rire, de notre déménagement, de nos vacances, de notre bordel, nos siestes, nos chorés sur la musique de Bones, notre bébé chat, nos yucas.... Avec lui tout est mieux.

2010 se termine et c'est pas plus mal. 2011 se doit d'être différente. ... Enfin, on verra.


"Tu es l'évènement le plus important depuis que l'Homme ne marche plus sur la Lune.Tu ne m'as pas permis de ne pas t'aimer.Il m'était impossible de faire autrement.tu ne m'as pas laissé passer à côté de toi.L'amour ressemble à ça:c'est quand on sent que rater quelqu'un serait rater sa vie.L'amour c'est quand on cesse d´hésiter."



Mercredi 2 juin 2010 à 21:17

J'me rappelle encore quand j'étais dans cet avion qui me ramenait en France, que j'ai pas arrêté de pleurer, que j'ai eu l'impression qu'on m'arrachait quelquechose. Je suis partie parce que j'étais obligée, je ne voulais pas, j'avais l'impression qu'il n'y aurait rien pour moi ici.

J'me rappelle de quand tu m'as quittée, il y a des années, de comme j'ai eu mal, de comme j'ai pleuré, de comment j'ai pensé à toi pendant des mois, des années, de comment je t'ai détesté et puis finalement de comment je t'ai oublié.

Et pourtant maintenant grâce à toi j'ai l'impression qu'il y a une raison valable pour que je sois là. Quand tu es avec moi, tout est parfait. Vivre avec lui est la chose la plus merveilleuse qui pouvait m'arriver. Même quand j'ai des envies d'ailleurs je sais qu'il est là, que je peux me blottir dans ses bras, respirer son odeur, écouter sa respiration. Des petites choses qui font que je suis encore là, que je n'ai pas refait ma valise.

Il y a 8 ans, une copine m'a dit "vous êtes des âmes soeurs", 2 ruptures, des années sans contact, des soirées passées ensemble où on ne voulait pas s'attacher et nous voilà ensemble. Des âmes soeurs...

Mardi 16 février 2010 à 21:43

Lui, évidemment...http://smooth.cowblog.fr/images/INTROMURANOCOEURS.jpg
 

Parce que ça a toujours été lui, qu'il a toujours rongé ma tête, qu'il a toujours été présent, d'une façon ou d'une autre. Enfin presque.
On s'est séparé il y a 6 ans. Rectification : il m'a brisé le coeur il y a 6 ans en partant avec une autre. Il m'a fallu des années pour m'en remettre. Oui mais voilà, avec lui rien n'est jamais fini. Il revient toujours dans ma vie, je m'incruste toujours dans la sienne.

Ça a commencé gentimment, anodinement, facebook nous permet de nous retrouver, le cliché, j'ai le coeur brisé à cause d'un autre, il est en couple, puis se sépare, puis je rentre en France. On s'amuse à jouer à la provoc, je finis par aller le voir, une soirée avec lui. Suivie d'autres.
Ça devait rester anodin, on voulait pas s'attacher, on s'était déjà trop brulé les ailes, ensemble et chacun de notre côté. Mais une attitude débile à tout changé. On couche ensemble, et dans la précipitation on met pas de capote. Acte débile, inconscient et j'en passe. Enceinte? Pas enceinte? Etrangement ça nous rapproche, on se met à rêvasser d'une vie à 2, à 3. On s'imagine une fille, rien qu'à nous. A force d'en parler on s'attache.
Mais quelques semaines après verdict, Mère Nature m'apprend que je ne suis pas enceinte, et le planning famillial que je n'ai rien de mauvais qui traine dans mes veines (ni dans les siennes). Soulagement. Ou pas tant que ça.


Oui mais voilà, à force de jouer au couple parfait, on a fini par y croire, on a arrêté de coucher ensemble, on a fait l'amour,. J'ai arrêté de partir au milieu de la nuit, on a passé la nuit ensemble, on s'est réveillé l'un à côté de l'autre. Des sentiments ont montré le bout de leur nez. Pas de vieux sentiments. Pas de nostalgie. Juste de l'attachement, et maintenant de l'amour.
Il est ma perfection...

Oui mais, le monde n'est pas tout rose pas vrai?
Moi j'ai peur. Peur qu'il parte avec une autre, peur d'avoir mal encore, peur de m'engager alors que j'avais dit plus jamais. Alors dans mes moments de psychose infernale je joue à "qu'est ce qui se serait passé si..." si on avait mis une capote, si on s'en était tenu à une partie de jambes en l'air point final comme on l'avait décidé, si on avait pas de passé, si..., si..., si...
Et moi j'ai peur mon coeur, parce que j'ai pleins de cicatrices, j'ai des bleus à l'âme. Qu'est ce qui va m'arriver si tu me laisses?

Alors j'essaie d'apprendre à faire confiance, à le croire quand il me dit que nous deux c'est pour toujours, qu'il veut m'épouser, passer sa vie avec moi, et que cette fille qu'on a eu peur d'avoir trop tôt, on va l'avoir, au bon moment.
Et je me rassure, de ses "je t'aime", de sa présence, de ses preuves d'amours, de ses promesses, de ses sourires, de lui qui me prend dans ses bras pour s'endormir, de son envie qu'on vive ensemble.

Et j'essaie de lâcher prise, de rayer mes angoisses de la carte et de me dire que je peux être la fille qui a trouvé le mec parfait pour elle.
Parce qu'il est ma moitié d'orange...

Samedi 19 septembre 2009 à 16:34

J'ai le mal du pays, j'aurais jamais du prendre ce put*** d'avion qui m'a ramenée en France, j'aurais du rester là bas. J'avais tout ce qu'il me fallait. J'ai juste eu l'impression que je devais rentrer. C'est n'importe quoi... Maintenant je suis bloquée ici, et j'ai le sentiment que tout le monde s'en fout, j'ai pas un rond, et il fait même pas beau...
Mon passé me suit, et j'hésite à me lancer dans un truc qui ne me correspond pas vraiment. Est ce que c'est comme ça qu'on change et qu'on grandit? Et qu'est ce qui se passe si au lieu de me faire grandir ça me fait pas du bien.
Je crois que la vie était plus simple à Sydney, et c'est pour ça que je veux y retourner...

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