Jeudi 27 novembre 2008 à 10:55

"Mais comment tu peux croire que tu me manques pas??"
"Mais comment je fais pour savoir que je te manques puisque tu me le dis pas"


C'est aussi bête que ça. Moi je pensais que j'étais trop loin de son coeur pour qu'il pense à moi. En plus la distance on a jamais trop expérimenté ça. J'ai attéris chez toi à 6 mois et depuis on est resté plus ou moins collé. Je ne sais pas vivre sans toi puisque j'ai jamais eu à le faire.
Toi tu pensais que ça coulait de source, que je savais que je te manquais puisque toi non plus tu sais pas vraiment vivre sans moi.

Entre toi et moi c'est plus que de l'amitié, pas d'ambiguité, mais des sentiments, de la complicité, de la chaleur, des évidences.
Je sais que tu seras toujours là pour venir passer un moment sur notre pont, même par -3°C, même s'il pleut. On l'a déjà fait, on le refera.

Tu es ma moitié de vie.

Lundi 17 novembre 2008 à 6:56

Certaines personnes ont déjà dit ce que je pensais (et bien en plus...)

"Tu crois que ce qui vient de nous arriver peut arriver à tout le monde?
Que nous éprouverons encore ce que nos éprouvons l'un pour l'autre?
Maintenant,nous ne serons plus jamais deux personnes distinctes.
Et tu sais combien de personnes cherchent ça toute leur vie sans jamais le trouver,et combien ne savent même pas que ça existe?
Et tu vas me dire maintenant que c'est ce que tu appelles une "chose bien" de renoncer,de laisser tomber??"


"Ce genre de certitude,on ne l'a qu'une fois dans sa vie..."


Clint Eastwood,dans Sur la route de Madison


 
I hate the way you talk to me

And the way you cut your hair.

I hate the way you drive my car.

I hate it when you stare.

I hate your big dumb combat boots,

And the way you read my mind.

I hate you so much it makes me sick;

It even makes me rhyme.

I hate it, I hate the way you're always right.

I hate it when you lie.

I hate it when you make me laugh,

Even worse when you make me cry.

I hate it when you're not around

And the fact that you didn't call.

But mostly I hate the way I don't hate you.

Not even close, not even a little bit, not even at all.

Ten things I hate about you


Parce que ça sonne très vrai, que je suis en manque de calins, de tendresse et d'un signe de vie de lui, lui, lui ou encore eux...

 

Samedi 8 novembre 2008 à 4:04

Sydney et son opéra, Sydney et son Harbour Bridge, Sydney et the Rocks. Sydney avec un ciel bleu, Sydney et un ciel nuageux.
C'est juste le plus bel endroit du monde. J'ai trouvé un endroit que je veux appelé mon chez moi. Problème de visa malgré tout, je sais que je ne suis là que pour un an. Et 2 mois sont déjà passés... J'aimerais pouvoir rester, même si je sais que je "manque" à des personnes de l'autre côté du monde, et qu'ils ne me laissront pas rester.
Oui mais si j'appartiens à cette ville comment on fait?

Ici je suis loin de ceux qui m'ont fait du mal. Tout est neuf, une page blanche sur laquelle je peux écrire comme je veux. Les gens n'ont pas besoin de savoir qui j'étais avant, ils ont juste besoin de savoir qui je suis maintenant.
J'oublie les psychoses, les petits bobos, les gros chagrins, les connards qui m'ont fait souffrir.

De l'air, de la nouveauté, du blabla, des apéros. Tout pareil, tout différent.

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