Lundi 17 novembre 2008 à 6:56

Certaines personnes ont déjà dit ce que je pensais (et bien en plus...)

"Tu crois que ce qui vient de nous arriver peut arriver à tout le monde?
Que nous éprouverons encore ce que nos éprouvons l'un pour l'autre?
Maintenant,nous ne serons plus jamais deux personnes distinctes.
Et tu sais combien de personnes cherchent ça toute leur vie sans jamais le trouver,et combien ne savent même pas que ça existe?
Et tu vas me dire maintenant que c'est ce que tu appelles une "chose bien" de renoncer,de laisser tomber??"


"Ce genre de certitude,on ne l'a qu'une fois dans sa vie..."


Clint Eastwood,dans Sur la route de Madison


 
I hate the way you talk to me

And the way you cut your hair.

I hate the way you drive my car.

I hate it when you stare.

I hate your big dumb combat boots,

And the way you read my mind.

I hate you so much it makes me sick;

It even makes me rhyme.

I hate it, I hate the way you're always right.

I hate it when you lie.

I hate it when you make me laugh,

Even worse when you make me cry.

I hate it when you're not around

And the fact that you didn't call.

But mostly I hate the way I don't hate you.

Not even close, not even a little bit, not even at all.

Ten things I hate about you


Parce que ça sonne très vrai, que je suis en manque de calins, de tendresse et d'un signe de vie de lui, lui, lui ou encore eux...

 

Samedi 8 novembre 2008 à 4:04

Sydney et son opéra, Sydney et son Harbour Bridge, Sydney et the Rocks. Sydney avec un ciel bleu, Sydney et un ciel nuageux.
C'est juste le plus bel endroit du monde. J'ai trouvé un endroit que je veux appelé mon chez moi. Problème de visa malgré tout, je sais que je ne suis là que pour un an. Et 2 mois sont déjà passés... J'aimerais pouvoir rester, même si je sais que je "manque" à des personnes de l'autre côté du monde, et qu'ils ne me laissront pas rester.
Oui mais si j'appartiens à cette ville comment on fait?

Ici je suis loin de ceux qui m'ont fait du mal. Tout est neuf, une page blanche sur laquelle je peux écrire comme je veux. Les gens n'ont pas besoin de savoir qui j'étais avant, ils ont juste besoin de savoir qui je suis maintenant.
J'oublie les psychoses, les petits bobos, les gros chagrins, les connards qui m'ont fait souffrir.

De l'air, de la nouveauté, du blabla, des apéros. Tout pareil, tout différent.

Vendredi 24 octobre 2008 à 0:32

Mes projets en vrac pour plus tard, quand je serai rentrée en France.

Avoir une maison avec un jardin, et même une jolie veranda.
Avoir un chien, un labrador, tout mimi.
Avoir un vrai boulot avec pausé café, collégues et coups de fils importants.
Etre sure de ce que je fais, plus de doutes
Ne plus penser à lui, à ce qu'il a dit, à est ce qu'il le pensait ou pas.
Ne plus chercher un mec, une relation, je n'ai pas besoin de qqun.
Avoir une corbeille de fruits, des lettres dans ma boite aux lettres.
Avoir une voiture à moi, avec tout un bordel dedans.
Avoir une carte d'abonnement à une piscine du coin.

Je ne veux plus penser à lui, je veux oublier et passer à autre chose. Il n'a jamais été sincère et pourtant j'y ai cru... J'ai imaginé un plus tard avec lui, je l'ai cru quand il a dit que j'étais la mère ses enfants. Maintenant il habite avec elle. Tant pis pour moi.

Je veux une bibliothèque pleine de livres.
Je veux un DU de portugais.
Je veux rentrer à l'aube après une soirée avec mes copines !
Je veux grandir.


"I want to go back to having someone to come home to at the end of the day who cares about whether or not I had lunchor had a headache in the morning that went away by eleven am. I want y own flat. And a career that I love, that I'm good at. And I want to be a success."
Rebecca Sparrow The Girl Most Likely

Dimanche 19 octobre 2008 à 11:39

Parce que je suis loin je fais des choses que je ne ferais pas en temps normal. J'essaie de tourner les pages différemment. Je ne sais pas si ça va marcher mais je ne risque pas grand chose.

Pour tourner la page sur lui, sur 3 ans 1/2  de prise de tête, d'amour, de complicité, d'une relation en montagnes russes qui a fini au sommet. Je t'aimais, je t'aime surement encore, mais la distance m'aide.

Et j'ai trouvé un homme pansement qui m'aide à passer à autre chose, qui me permet d'avancer. Et je me rends compte que tout n'est pas aussi difficile que je le pensais. Mais il restera un pansement, je ne veux rien d'autre.

La phrase du jour est "loin des yeux, loin du coeur". Certaines personnes m'oublient facilement apparemment.

Jeudi 9 octobre 2008 à 11:21

Parce que je pense qu'on apprend à se connaître quand on part loin, quand on se retrouve face à soi même, je me dis que peut être je m'apprends peu à peu. Je réfléchis à qui je suis, pourquoi je suis comme ça et qu'est qui a fait qu'à un moment ou à un autre j'ai pris des décisions qui font que je suis moi.

J'ai trouvé ça sur un blog : En chacun de nous existe un autre être que nous ne connaissons pas. Il nous parle à travers le rêve, et nous fait savoir qu'il nous voit bien différent de ce que nous croyons être.

Et je crois que c'est vrai, je crois que quelque part en moi j'ai la réponse à mes questions.

En attendant de trouver la solution je sais que j'ai peur de tout mais que c'est peut être ma plus grande force, parce que plus rien ne m'est insurmontable. Tout me fait peur même les petites choses du quotidien et je suis obligée de les faire. Alors les choses plus importantes et plus stressantes je les fais aussi.

Je sais aussi que laisser un mec me connaitre et entrer dans ma vie m'est impossible. C'est trop pour moi.  Je n'arrive plus à faire confiance, et j'essaie peu à peu de trouver pourquoi. Je sais que je dois me raisonner.

Je sais aussi que je cherche "le bon" et que ça me fait plus de mal que de bien. Parce que tous ceux auxquels j'ai pensé ne m'ont jamais considérée comme je l'aurais voulu, ils me l'ont juste fait croire, ils m'ont dit ce que je voulai entendre.

Je sais que je suis psychosée et que je peux vivre avec, en faisant des progrès quand même... 

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